Paysage avec palmiers

Livre de qqes pages d’une grande force. Obsédant, brutal, poétique, sur Beyrouth, sur la guerre, sur ce qu’il a vu.
« J’écris pour quitter Beyrouth. J’écris pour que Beyrouth me quitte », écrit l’auteur, en observateur fasciné, horrifié.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s